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J’ai jamais aimé le liv’d’laface (je n’y suis d’ailleurs plus depuis des années et je ne m’en porte que mieux).
C’est une entreprise basée sur la fraude et qui aspire et marchandise la vie privée individuelle sans en révéler tous les détails (et ça à l’air que ça vaut cher en torrieux, la vie privée et l’individualité), tout en détruisant toute forme de réflexion individuelle pour la majorité de ses clients.
Une entreprise qui a un contrat pas clair parce que pas explicite, qui se permet de le changer à sa guise sans en informer ses clients, qui refuse de révéler son fonctionnement et qui garde ses éléments d’interface qui contrôlent les options du service nébuleux, c’est frauduleux – aucun fournisseur de service canadien ne s’en tirerait avec un modèle pareil. Y’a des lois et des codes qui régissent tout ça, mais comme beaucoup des géants de la tech, c’est un ver des sables sans résidence fixe qui se faufile entre toute les jurisdictions.
Eh ben. Histoire de s’assurer que son emprise sur la pensée indépendante soit bien serrée, elle s’est mise à frauder le contenu journalistique y’a longtemps.
Et quand le gouvernement de l’Australie finit par en avoir plein le casse et demande à Facebook de diminuer sa fraude en contribuant monétairement au soutien des organismes et entreprises qu’elle bafoue, eh ben Bébé Zuck menace de se retirer (ben c’est ça, je joue plus!).
Ça nous rendrait bien service qu’il le fasse. Partout. En même temps. Ça ferait du bien – ça éviterait un autre Myanmar (et peut-être que ça protégerait le capitole?).
Michal de Adder, caricaturiste bien connu, a résumé la situation au nom des Amis de CBC :
