J’ai reçu un beau car­ton publi­ci­taire dans le cour­rier cette semaine ; plié à deux rabats qui s’ouvrent sur la révé­la­tion extra­or­di­naire de l’ir­ré­sis­tible offre de Vir­gin (consomme… obééééiiiiiis) qui jus­ti­fie défi­ni­ti­ve­ment (auuuu­cun doooouuuute!) que tu détaches ta laisse pour l’at­ta­cher à leur gros navire. Une carte Visa pré­payée pour dépen­ser encore plus afin de te remer­cier de gon­fler les poche d’une autre grosse télécom.

Rien de nou­veau sous le soleil. Mais ce qui me cour­rouce dans cette pub, c’est l’en­trée de jeu de ce car­ton. Sur le rabat du des­sus (dans la pho­to ci-bas – modi­fiée pour des rai­sons de confi­den­tia­li­té, bien sûr), on voit bien que le des­ti­na­taire – ado, ça va de soi, chez Vir­gin, est la VEDETTE de la mai­son, rien de moins.

Quand la neu­ro­psy­cho­lo­gie se joue du narcissisme…

C’est qui la vedette ? Lequel des adultes ? Lequel des ados ? Belles batailles en perspective.

Mais, pas de chance pour Vir­gin. Chez nous, la vedette incon­tes­tée, c’est un chat. Luc, le chat.

J’es­père qu’en plus d’une armée de neu­rop­sys, Vir­gin a des tra­duc­teurs de miaou.

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