Quel génie, cet homme. Son ombre va pla­ner sur la musique moderne pen­dant des décen­nies. C’est un artiste qui a chan­gé ma vie, façon­né mon oreille.

Dans ce court docu­men­taire, on explore une de ses der­nières per­for­mances publiques, et ce fut un des plus grands moments de la mi-temps du Super­bowl. Le matin même, c’est le déluge, la tem­pête tro­pi­cale. On lui demande s’il veut arrê­ter, et il répond : “vous pour­riez pas aug­men­ter la pluie?”

Méga­lo­mane, abso­lu­ment. Per­fec­tion­niste à l’ex­cès, certes. Mais quel show­man. Rien, rien, rien n’ar­rête son besoin de par­ta­ger sa musique avec le monde. Même pas la pluie ; sur­tout pas la pluie.

J’ai vu Prince au Fes­ti­val de Jazz de Mont­réal, mais là, c’est autre chose…

En par­tant à la recherche de son logo pour la cou­ver­ture de ce billet, je suis tom­bé sur sa génèse. Une his­toire de date de tom­bée folle (24 heures), d’une nuit blanche qui a don­né lieu à la créa­tion d’un arté­fact cultu­rel, d’une nou­velle iden­ti­té, d’un acte d’au­to-sabo­tage. Un article fas­ci­nant pour les têtes de tech­no et les graphistes.

Et j’ai aus­si retrou­vé un article qui explique le long tra­vail de desi­gn déjà enta­mé (il avait com­men­cé sa réin­ven­tion dès 1984 – l’an­née de Purple Rain !):

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *