Quel génie, cet homme. Son ombre va planer sur la musique moderne pendant des décennies. C’est un artiste qui a changé ma vie, façonné mon oreille.
Dans ce court documentaire, on explore une de ses dernières performances publiques, et ce fut un des plus grands moments de la mi-temps du Superbowl. Le matin même, c’est le déluge, la tempête tropicale. On lui demande s’il veut arrêter, et il répond : “vous pourriez pas augmenter la pluie?”
Mégalomane, absolument. Perfectionniste à l’excès, certes. Mais quel showman. Rien, rien, rien n’arrête son besoin de partager sa musique avec le monde. Même pas la pluie ; surtout pas la pluie.
En partant à la recherche de son logo pour la couverture de ce billet, je suis tombé sur sa génèse. Une histoire de date de tombée folle (24 heures), d’une nuit blanche qui a donné lieu à la création d’un artéfact culturel, d’une nouvelle identité, d’un acte d’auto-sabotage. Un article fascinant pour les têtes de techno et les graphistes.
Et j’ai aussi retrouvé un article qui explique le long travail de design déjà entamé (il avait commencé sa réinvention dès 1984 – l’année de Purple Rain !):
