Je suis tom­bé récem­ment sur la fon­da­tion Video Game His­to­ry Foun­da­tion qui m’a sou­ti­ré un sur­saut de joie. Un groupe de mon­gols dédiés à convaincre les entre­prises créa­trices de leur céder leurs atouts les plus secrets pour en faire un musée. Sans oublier leurs efforts tita­nesques pour récu­pé­rer des vieux titres qu’on croyait perdus !

À une époque où des stu­dios cra­qués du casque tels Night Dive se dévouent à ten­ter de moder­ni­ser des vieux clas­siques dis­pa­rus tel Blade Run­ner de West­wood et se butent à l’im­pos­si­bi­li­té de retrou­ver tous les mor­ceaux du casse-tête (n’est pas Luca­sArts qui veut), de voir une telle fon­da­tion se mettre sur pied fait défi­ni­ti­ve­ment capo­ter le geek de jeux vidéos ici présent.

Quand on pense que la majo­ri­té des arté­facts (code source, musique, sons, images, sprites) requis pour recom­pi­ler les jeux d’an­tan sont com­plè­te­ment dis­pa­rus, ça donne froid dans le dos.

Et ça rend ma réac­tion (en tant qu’ex­pert en sécu­ri­té) aux fuites suite à des intru­sions illé­gales comme celle subie par Nin­ten­do en 2020 un peu plus ambigües de par leur impact culturel.

Qui n’au­rait pas vou­lu jouer le deuxième Days of Thun­der sur NES (l’his­toire de sa décou­verte et sa recons­truc­tion vaut presque un bol de popcorn!)

Bref, j’hé­site entre la tasse et le t‑shirt du maga­sin de la VGHF. Et vous ?

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